Insécurité des commerces: et si on prenait en compte cette pénibilité pour la retraite? Romain Blachier

Donner des solutions policières pour prévenir plutôt que guérir mais aussi renforcer les dispositifs d’alerte agressions dans les commerces. Et prendre en compte la pénibilité causée par les  braquages dans les calculs de retraite des commerçants.

Bien sûr la solution aux problèmes rencontrés par les commerçants en matière de sécurité est d’abord préventive et policière. Ce sont d’abord les dégàts qu’il faut éviter avant de songer à réparer.

Force est de constater toutefois qu’aujourd’hui, où la sécurisation des grandes surfaces et des banques est plus grande qu’auparavant, que c’est le commerce de proximité qui est le plus exposé. Pas un jour sans qu’un braquage se déroule dans un commerce en France, phénomène auquel on assiste dans des proportions souvent plus graves encore, un peu partout en Europe.

Le problème dans notre pays, se pose notamment, mais pas seulement,  chez les patrons de bureaux de tabac et les commerçants disposant d’une licence de PMU ou de la française des jeux, où les liquidités échangées sont grandes et attisent les appétits. Nombreux sont les établissements de ce type à connaitre des braquages.

Je le répétè, la solution est d’abord dans la sécurité, même si il faudra du temps pour rattraper les pertes d’effectifs policiers subis dans le précédent quinquennat.Par ailleurs la fédération du commerce du Jura a expérimenté un dispositif novateur en la matière. Dispositif qu’il faudrait étendre via un partenariat avec les Ministère de l’Intérieur et du  Commerce.

Mais il me semble normal aussi, comme l’a demandé d’ailleurs, la Fédération Française des Associations de Commerçants,  de penser aussi à inscrire ces agressions comme relevant de la pénibilité professionnelle et donc d’intervenir dans le calcul des droits des commerçants.

Dans la réforme des retraites, la prise en compte par le RSI, dans des modalités qu’il faudra discuter, des agressions lorsqu’elles sont répétées pour la retraite me semble des plus justes au moment où l’on évoque la pénibilité de certains métiers.

Insécurité des commerces: et si on prenait en compte cette pénibilité pour la retraite? Romain Blachier

Donner des solutions policières pour prévenir plutôt que guérir mais aussi renforcer les dispositifs d’alerte agressions dans les commerces. Et prendre en compte la pénibilité causée par les  braquages dans les calculs de retraite des commerçants.

Bien sûr la solution aux problèmes rencontrés par les commerçants en matière de sécurité est d’abord préventive et policière. Ce sont d’abord les dégàts qu’il faut éviter avant de songer à réparer.

Force est de constater toutefois qu’aujourd’hui, où la sécurisation des grandes surfaces et des banques est plus grande qu’auparavant, que c’est le commerce de proximité qui est le plus exposé. Pas un jour sans qu’un braquage se déroule dans un commerce en France, phénomène auquel on assiste dans des proportions souvent plus graves encore, un peu partout en Europe.

Le problème dans notre pays, se pose notamment, mais pas seulement,  chez les patrons de bureaux de tabac et les commerçants disposant d’une licence de PMU ou de la française des jeux, où les liquidités échangées sont grandes et attisent les appétits. Nombreux sont les établissements de ce type à connaitre des braquages.

Je le répétè, la solution est d’abord dans la sécurité, même si il faudra du temps pour rattraper les pertes d’effectifs policiers subis dans le précédent quinquennat.Par ailleurs la fédération du commerce du Jura a expérimenté un dispositif novateur en la matière. Dispositif qu’il faudrait étendre via un partenariat avec les Ministère de l’Intérieur et du  Commerce.

Mais il me semble normal aussi, comme l’a demandé d’ailleurs, la Fédération Française des Associations de Commerçants,  de penser aussi à inscrire ces agressions comme relevant de la pénibilité professionnelle et donc d’intervenir dans le calcul des droits des commerçants.

Dans la réforme des retraites, la prise en compte par le RSI, dans des modalités qu’il faudra discuter, des agressions lorsqu’elles sont répétées pour la retraite me semble des plus justes au moment où l’on évoque la pénibilité de certains métiers.