Ouvrons nos mains pour Guilherme

@Griffon Lyonnais et Jérôme Je vous propose de venir cet après-midi à 16h place des Terreaux non pas pour soutenir cette famille mais pour discuter avec le collectif qui l’accompagne. Vous vous ferez ainsi votre opinion au vu des documents que ce collectif détient. On ne peut pas reconnaïtre que cet homme est bien le père de deux enfants nés en France et dont il s’occupe depuis la naissance et dans le même temps affirmer qu’il n’a pas d’attaches familiales en France; qu’il a femme et enfants en Angola alors même que le certificat de décès de sa femme a été fourni en préfecture, et que les enfants du premier lit ont été dispersés par les événements entre Angola et Congo Guilherme pourrait, étant donné les circonstances, bénéficier d’une régularisation administrative telle qu’énoncée dans le CESEDA pour « vie privée et familiale » sauf que cette dernière reste à l’appréciation du Préfet qui use alors de son pouvoir discrétionnaire pour autoriser ou non le séjour. Ce qui, d’une préfecture à l’autre,et parfois au sein d’une même préfecture relève de l’aléatoire. Ainsi Najlae n’a pas « légalement » droit au séjour, et pourtant elle a bénéficié d’un retour en fanfare, alors qu’on refuse de régulariser Guilherme qui a des arguments à faire valoir. La mobilisation pour Guilherme a commencé fin janvier et ne s’est pas démentie jusqu’à ce jour. Et ce n’est pas un hasard. Pour les avoir rencontrés, je peux témoigner que ses soutiens ne sont ni de doux rêveurs ni des utopistes. Ils sont voisins, amis, parents d’élèves, enseignants, dans la sidération de l’acharnement mis à détruire cette famille de six personnes, dont cinq des membres sont en règle, une famille participant à la vie de l’école, du quartier, une famille ordinaire semblable à la leur dans ses joies et dans ses peines.

Et puis, et si du cas Guilherme dépendait la promotion du Préfet au cabinet de qui vous savez?

Ouvrons nos mains pour Guilherme

@Griffon Lyonnais et Jérôme Je vous propose de venir cet après-midi à 16h place des Terreaux non pas pour soutenir cette famille mais pour discuter avec le collectif qui l’accompagne. Vous vous ferez ainsi votre opinion au vu des documents que ce collectif détient. On ne peut pas reconnaïtre que cet homme est bien le père de deux enfants nés en France et dont il s’occupe depuis la naissance et dans le même temps affirmer qu’il n’a pas d’attaches familiales en France; qu’il a femme et enfants en Angola alors même que le certificat de décès de sa femme a été fourni en préfecture, et que les enfants du premier lit ont été dispersés par les événements entre Angola et Congo Guilherme pourrait, étant donné les circonstances, bénéficier d’une régularisation administrative telle qu’énoncée dans le CESEDA pour « vie privée et familiale » sauf que cette dernière reste à l’appréciation du Préfet qui use alors de son pouvoir discrétionnaire pour autoriser ou non le séjour. Ce qui, d’une préfecture à l’autre,et parfois au sein d’une même préfecture relève de l’aléatoire. Ainsi Najlae n’a pas « légalement » droit au séjour, et pourtant elle a bénéficié d’un retour en fanfare, alors qu’on refuse de régulariser Guilherme qui a des arguments à faire valoir. La mobilisation pour Guilherme a commencé fin janvier et ne s’est pas démentie jusqu’à ce jour. Et ce n’est pas un hasard. Pour les avoir rencontrés, je peux témoigner que ses soutiens ne sont ni de doux rêveurs ni des utopistes. Ils sont voisins, amis, parents d’élèves, enseignants, dans la sidération de l’acharnement mis à détruire cette famille de six personnes, dont cinq des membres sont en règle, une famille participant à la vie de l’école, du quartier, une famille ordinaire semblable à la leur dans ses joies et dans ses peines.

Et puis, et si du cas Guilherme dépendait la promotion du Préfet au cabinet de qui vous savez?