Parce que nous l’avons bien mérité, nous, Lyonnais.
Le fleuve étend ses bras sur les terres. Et plus loin, vers la lisière du regard, étreint de son bras la rivière, comme un amant affectueux autour du coussin de la Confluence. Plus haut, à l’autre bout des yeux, sur le sol ferme, les hommes et les femmes sur les berges entre les ponts de pierre éclusent un houblon de la région, un raisin fermenté de nos terroirs sous les lueurs d’or. Le loin et le près. Quelque part alors que le cuivre resplendit sur les toits de chez moi, j’ai envie de porter un toast en ces dernières lueurs de débat et de campagne pour l’avenir de Lyon. Oui un toast. A tous les lyonnais.
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