23 ans qu’il officie comme correspondant à Lyon du Figaro, un bail qu’il qualifie lui même de préhistorique… Et pourtant, Frédéric Poignard n’affiche que 47 printemps, bien jeunot pour entrer au futur (?) Musée des Confluences…
Il sera, lundi 20 septembre, le prochain invité des Rugissants, le cercle franc-mâchon que j’ai créé avec mon compère Grandgousier Erick.
Autant vous dire qu’on va refaire l’histoire politique de Lyon avec autant d’âpreté et de passion que l’ami Eugène Saccomano dans « On refait le match » sur RTL.
Frédéric, dont Gérard Angel affirme qu’il est le journaliste le mieux payé de France au nombre de signes parus (si c’est pas vilain la dénonciation entre confrères !), est un bon vivant aux commentaires souvent plus acides que ses papiers. S’il obéit scrupuleusement à la sacro-sainte règle de Beaumarchais, toujours incorporée dans le titre du Figaro « Sans liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur », Frédéric en sait bien plus qu’il ne peut écrire. Et son carnet Moleskine, qui ne le quitte jamais, pourrait bien s’entrouvrir lundi soir pour le plus grand bien de nos oreilles affamées.
Tiens, en parlant d’affamé, je parie que Frédéric ne sera pas en reste pour taquiner les saladiers lyonnais, rôts et autres goulayantes boissons que nous aura préparé l’ami Yves Rivoiron du Café des Fédérations. Frédéric, si tu lis ces lignes, n’oublie pas que tu devra payer force pots de vin pour acheter ta liberté. C’est une coutume, et en tant que journaliste d’un canard fortement attaché aux traditions, tu devras t’y plier sans rompre !