Laetitia Debruyne est une touche à tout des environs du quartier de la Guillotière et une amie à moi.
Entrepreneuse, artiste, performeuse et modéle photo, elle se lance cette année dans un projet de performance artistique au Canada. Le projet serait intégralement financé par des dons sur internet via les blogs et réseaux sociaux et des séances photos consacrées à cet effet.
Je lui laisse la parole:
L’idée de ce voyage va au-delà de me balader les pieds en éventail pendant 15/21 jours en vous twittant mes ‘aventures’. Non, ceux qui me connaissent le savent BIEN : je conçois la vie comme une performance, une bataille plus ou moins bien rangée, et ce séjour est une occasion pour aller plus loin dans ma démarche de modèle warrior, de femme, de blogueuse, de chef d’entreprise, de tout ce qui m’anime et qui me définit. Ailleurs, le superflu en moins, la chair et les racines entrechoquées.
Ce très cher Spinoza apprécierait l’initiative et cette nouvelle expérience : la performance internationale mutualisée par les réseaux sociaux.
Pour vous remercier de contribuer à l’élargissement de mon sourire et au renouvellement de mes horizons, je vous donnerai un accès protégé à une nouvelle section de ce journal, mise à jour toutes les 24h et contenant pèle-mêle :
- une photographie me représentant dans un nouveau lieu (nue ou pas, le but étant la performance sans forcément tomber dans l’exhibitionnisme),
- un texte intelligent sur mon parcours,
- des idées locales,
- des broutilles virtuelles,
- pourquoi pas un podcast sonore, ça vous changera de mes habituels conseils musicaux
Au-delà du journal de bord, je compte bien :
- compenser mes déplacements avec un bilan carbone complet,
- éviter les hôtels, loger chez l’habitant, entre autre par le biais du couchsurfing,
- déranger les puritains locaux,
- lire,
- encore lire,
- m’aérer les yeux et l’esprit,
- manger local (dans la limite des mets comestibles),
- (visiter les locaux de Google),
- (faire la bise à Rob Zombie)
Pour contribuer à ce projet, vous pouvez cliquer sur le bouton ci-dessous.
Crédits photos: Henri Senders et Pierre-Yves Reppelin