Je ne vais pas vous faire un résumé de la première partie de l’histoire ni du concours qui a amené à sa création, les liens sont là pour ça!
D’ailleurs à propos de concours, c’est les derniers jours pour jouer à celui-là.
Nous sommes donc dans un stade Gerland en panique, dans un Lyon apocalyptique à cause d’un accident provoqué par votre serviteur.Quel accident? Mais puisque on vous dit de lire la premiére partie !
Parce que là c’est la seconde.
Allez on poursuit donc l’histoire:
Pendant que nous sommes dans le stade livré au bordel, à la chienlit, à un chaos que n’aurait pas renié une réunion du PS en temps de congrès ou une AG ordinaire du MODEM du 6.9, les substances du laboratoire P4 débordent sur le Rhône, qui commence à devenir impraticable et dangereux.La régate organisée par Gérard Angel est obligée de s’interrompre.
Les émanations des substances toxiques ont des conséquences inattendues:Jean-Pierre Flaconnèche, Jean-Yves Sécheresse voient leurs barbes pousser démesurément et se retrouvent involontairement pris à parti par des communistes orthodoxes proches d’André Gérin qui les confondent avec Louis Leveque et les accusent de liquider le parti communiste.Nos deux barbus sont obligés de s’enfuir avant d’être obligés de faire un stage de rééducation capillaire et politique chez Castro ou pire, dans le Val de Marne.A tort ou à raison ,Lafond et ses amis (Lafond (qui?) Family) sont accusés par d’autres militants centristes d’être devenus des créatures hybrides, mi-participation citoyenne, mi-MODEM.Richard Brumm, tel Hébus, le troll de Lanfeust de Troy, retrouve ses instincts conservateurs umpistes et va rendre visite à sa coriveraine du boulevard des belges, Fabienne Lévy, pour se rallier.D’autres essayent de titrer partie de la situation.Isabelle Cochez en profite appelle les instances nationales de l’UMP pour faire interner Emmanuel Hamelin, prétendant que celui-ci a été durement touché par les émanation toxique et que dans l’intérêt du parti (et non le sien bien entendu) elle se doit de reprendre la responsabilité de délégué de circonscription occupée par l’ancien député.
Malheureusement celle-ci est toujours au stade de Gerland en train d’accuser Nathalie Perrin-Gilbert de la catastrophe que j’ai provoquée ainsi que d’avoir incité au déclenchement de la guerre de 100 ans.De rage, notre Adjoint au Finance biffa d’un trait de plumes deux immeubles de logements sociaux prévus rue Duquesne.Le Maire d’arrondissement divers-droite Jean-Jacques David avait d’ailleurs envoyé les gros bras proches de son club d’intense réflexion citoyenne et de l’UMP.Se surnommant eux-même le groupe « Fornique-ta-génitrice« , les vaillants militants avaient ainsi organisé des combats clandestins de caniches dans les caves autour avant de jeter des canettes de thé glacé contre le chantier en braillant du Didier Super.
Découvrez Didier Super!
Dans le stade de Gerland c’est la panique noire.Je suis interrompu dans ma discussion avec la sublime créature de la loge vip par un Charles Millon poursuivi par un Bruno Gollnisch retombé en enfance et pleurant: »Mais Chaaaarles, tu avais diiiiiit que tu étais mon aaaaaaaami »…Une justice populaire s’installe et Patrice Beghain, revenu sur nos terres après une carrière institutionnelle et médisante est lynché par les amateurs d’émergence culturelle.Il est temps de mettre un terme à ce bordel général.
Lafond, grand habitué du bordel généralisé au MODEM du Rhône propose d’organiser un peu les choses.Une tente est ainsi installée pour débattre de la suite à donner aux événements.Mais personne ne veut entrer pour débattre:Outre que les 14 autres branches du MODEM 69 hurlent à la manipulation, Stéphane Sacquépée est à l’entrée de la réunion, tentant de prélever 4 euros à toute personne manifestant des volontés d’entrer et se disputant avec un Patrice Schoendorff, demandant la gratuité de l’entrée au nom des minorités visibles et du comité Obama.
Broliquier dévisse une bague creuse qu’il porte au doigt, achetée à prix d’or chez son adjoint, l’antiquaire François Royer, pour balancer une dose de cyanure dans les verres de Beaujolais Olympique Lyonnais de Jean-Jacques David et d’Yves Cochet qui s’effondrent avant de proposer sa candidature comme chef.Le PS vote ( quelle drôle d’idée disent les autres!) puis s’engueule pendant le dépouillement.
Bref c’est une panique digne d’une chanson de Dimmu Borgir qu’avec le Septième Déjanté, nous avions repris dans le dialecte portugais si familier à certains bars de la Guillotière, remportant un certain succès au Burkina-Faso et au Bhoutan. Mais si! Cette chanson-là.Enfin ça c’est l’orignal pas la reprise.
Découvrez Dimmu Borgir!
Jusqu’à ce que….et si on tirait au sort ???? hurle le troisième ligne du LOU, Nicolas Portier…Tout à coup tout s’arrête…et l’idée fait l’unanimité.Les loges maçonniques lyonnaises amènent leurs stocks entiers de boules noires et blanches.Au moment de passer la voie de chemin de fer, le pont s’écroule.Gerland est isolée du reste du monde, le Rhône étant de son côté impraticable.
Claire Faure, d’un beau regard, se propose pour tirer le (nom) du vainqueur.Chacun des 42000 présents inscrit son nom, Daclin essayant pour maximiser ses chances de s’inscrire sur plusieurs sphères pour maximiser ses chances, Geourjon volant la boule de Begag qui part immédiatement écrire un livre sur le sujet.
La jolie Claire Faure touille et…c’est mon nom qui sort.Me voila donc en train de commencer une carrière de dictateur à mon âge ! Depuis on connait dans le monde l’Etat Libre de Gerland pour son socialisme tempéré, sa vie délurée, le comportement amical mais susceptible de ses habitants, son protestantisme érigé en religion d’Etat (quand les fidèles arrivent à se lever le dimanche après leurs nuits déjantées).Le Progrès y est traduit en 127 langues et les gens affluent du monde entier pour connaitre les joies du Grand Soleil Rose pâle de l’occident que je suis.Non mais!