Cordonnier | romainblachier.fr

A Lyon, il y a encore des cordonniers. Un peu partout dans les quartiers. Et c’est heureusement parti pour durer longtemps.

On croit pourtant qu’il n’y en a plus guère des cordonniers.

Qu’on jette les chaussures et qu’on passe aux suivantes.Qu’on n’a plus qu’une seule clé dans son trousseau. Qu’on a plus besoin de trous dans sa ceinture. Que les instruments qu’ils utilise, le cordonnier, sentent davantage la poussière que le cirage et la convivialité. Pourtant son métier est comme le cuir: vivant et animé. On apprend encore souvent le métier.

Le cordonnier accueille la clientèle dans sa boutique ou son stand et analyse les réparations à effectuer sur les chaussures.il y a le recollage, le ressemelage, la teinture, le remplacement de talons… Et son métier ne se limite pas à vos pieds. Même si bien sûr le dicton parle du cordonnier au sujet de savoir si il est suffisament bien chaussé !

Par exemple un cordonnier peut aussi travailler sur la maroquinerie et les vêtements en cuir.

Il doit être agile le cordonnier et pour moi qui ai les doigts fort malhabiles, il y a quelque part un peu de sorcellerie.

Il manie des instruments et des outils variés le cordonnier : presses, ciseaux, tenailles, parfois de précises machines à coudre, de mystérieuses machines à coller à chaud…

Souvent, elle n’est pas que dans le cuir l’activité du cordonnier. Il fait vend les fournitures (lacets, cirages…) mais il fait aussi les clés parfois, se faisant la porte d’entrée de ceux qui viennent de s’installer dans le quartier, des amoureux qui vont s’installer l’un chez l’autre, parce que ça devient sérieux et qu’il faut un double.

Le cordonnier est un homme de vie: vie des matières de peau qu’il manie, vie qu’il donne ou redonne au soulier, étant parfois d’ailleurs de la race des sauveteurs inespérés, transformant un tas informe, une godasse difforme en plus beau des souliers retrouvés. Quel beau métier que celui du cordonnier.

Cordonnier | romainblachier.fr

A Lyon, il y a encore des cordonniers. Un peu partout dans les quartiers. Et c’est heureusement parti pour durer longtemps.

On croit pourtant qu’il n’y en a plus guère des cordonniers.

Qu’on jette les chaussures et qu’on passe aux suivantes.Qu’on n’a plus qu’une seule clé dans son trousseau. Qu’on a plus besoin de trous dans sa ceinture. Que les instruments qu’ils utilise, le cordonnier, sentent davantage la poussière que le cirage et la convivialité. Pourtant son métier est comme le cuir: vivant et animé. On apprend encore souvent le métier.

Le cordonnier accueille la clientèle dans sa boutique ou son stand et analyse les réparations à effectuer sur les chaussures.il y a le recollage, le ressemelage, la teinture, le remplacement de talons… Et son métier ne se limite pas à vos pieds. Même si bien sûr le dicton parle du cordonnier au sujet de savoir si il est suffisament bien chaussé !

Par exemple un cordonnier peut aussi travailler sur la maroquinerie et les vêtements en cuir.

Il doit être agile le cordonnier et pour moi qui ai les doigts fort malhabiles, il y a quelque part un peu de sorcellerie.

Il manie des instruments et des outils variés le cordonnier : presses, ciseaux, tenailles, parfois de précises machines à coudre, de mystérieuses machines à coller à chaud…

Souvent, elle n’est pas que dans le cuir l’activité du cordonnier. Il fait vend les fournitures (lacets, cirages…) mais il fait aussi les clés parfois, se faisant la porte d’entrée de ceux qui viennent de s’installer dans le quartier, des amoureux qui vont s’installer l’un chez l’autre, parce que ça devient sérieux et qu’il faut un double.

Le cordonnier est un homme de vie: vie des matières de peau qu’il manie, vie qu’il donne ou redonne au soulier, étant parfois d’ailleurs de la race des sauveteurs inespérés, transformant un tas informe, une godasse difforme en plus beau des souliers retrouvés. Quel beau métier que celui du cordonnier.