Où manger lyonnais.A Lyon. Quelles sont les bonnes adresses, les coins sympas, les meilleurs restaurants, les bons bouchons ?
Vallenain me pose, ainsi qu’à d’autres, la question. Je vais donner 6 endroits. Il y en a beaucoup, beaucoup d’autres.
En plus cela tombe bien, ma pote Laetitia me demandait des adresses hier à la sortie de l’Anagramme.
Je vais d’abord donner quelques adresses de mon septième arrondissement.
La Terrasse de Gerland est un authentique bouchon lyonnais à l’ancienne, avec une superbe terrasse côté intérieur, comme cela se fait au sud du 7e arrondissement. Situé au 213 rue Marcel Mérieux, le lieu est idéal pour une découverte des spécialités lyonnaises. C’est ouvert le lundi midi et puis de mardi à samedi soir et midi. C’est situé au 231 rue Marcel Mérieux. Pour un menu compter entre 12 et 22 euros.
Le Mâchon lyonnais: Ce restaurant tenu par un couple du quartier posséde une jolie déco rétro. On y décline les classiques du genre. La tarte à la praline est un must. C’est situé au 46, avenue Jean Jaurès, c’est ouvert le lundi midi et de mardi à vendredi midi et soir. Pour un menu compter entre 17 et 27 euros
Le Café du Nain: Pas un bouchon, plutôt un bar-restaurant lyonnais. Mais alors lyonissime. Non loin de la place du Pont, de son nom officiel Gabriel Péri, c’est entre charcuterie et crus de beaujolais (ils ont toute la collection) que vous acceuillera pour le déjeuner ou l’apéro du soir que vous acceuillera le couple de tauliers. Le jour du beaujolais nouveau, c’est l’un des endroits les plus recommandables du secteur. Ouvert seulement pour déjeuner. Prix compter entre 12 et 20 euros. Situé au 5 rue Montesquieu.
Dans Lyon en général
Daniel et Denise: C’est une institution, un bouchon d’instution, un temple. En plus, il est ouvert le lundi soir, chose rare dans la profession. Très respecté dans le milieu, Jospeh Viola a formé des générations de chefs, jusqu’à mon ami Gaby Didonna qui fait aujourd’hui dans le sushi avec le Yamamori et dans le ramen avec l’ouverture de son second établissement. Le lieu est boisé, raffiné. Meilleur ouvrier de France, monsieur Viola est intransigeant avec ses produits et sa cuisine. Ouvert midi et soir sauf les week-end. Compter entre 30 et 50 euros. Situé au 156 rue de Créqui dans le 3e.
Chez Chabert. Dans un Vieux-Lyon infesté d’arnaques à touristes, où la quenelle industrielle est sans âme, le sabodet cuit sans amour et le tablier de sapeur donne envie de rendre le sien, Chez Chabert dénote par son authenticité. Créé au début du siécle dernier, le lieu a gardé son cachet et ses méthodes de services en grand saladiers. La charcuterie y est fort recommandable. Le lieu est situé au 14 quai Romain Rolland à Lyon 5e. On y mange pour 24 euros au menu. Il est ouvert seulement le soir mais tous les jours.
Chez Hugon. Institution où l’on croise le tout Lyon. La cuisine n’est pas ici simple manière d’apprêter les aliments mais un art à part entière. Le lieu est petit, très couru donc la réservation y est absolument indispensable. Tous les items d’un vrai repas lyonnais sont ici reunis avec une ambiance conviviale et des portions nourrissantes. Seul petit bémol, un systéme de suppléments sur trop de plats qui fait vite monter l’addition. Menu 23,5 euros. Ouvert midi et soir sauf le week-end. Situé au 12 rue Pizay à Lyon 1er.
Ah et pour finir oui Vallenain, je connais le café des Fédérations. Ils nous prêtent même une partie de l’établissement pour les reunions des Rugissants. Et puis le Sathonay aussi même que l’ancien boss était venu faire juré au concours d’accent lyonnais.
Ah et si toi, toi, toi, toi, toi, toi, toi, toi et toi souhaitez faire part de vos endroits favoris, qu’ils n’hésitent pas.
(merci à Akane86 pour la photo)