J’ai eu à quelques reprises ces derniers temps l’occasion de m’effarer de la tenue de certains débats politiques locaux sur Twitter. Bien qu’il m’arrive de débattre en ligne fort souvent, je suis stupéfait du niveau de certaines attaques. J’ai déjà réagi l’autre jour par un billet mais généralement je ne prends plus la peine de répondre quand il s’agit juste d’attaques vaines et non de débat.
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- En France et dans le Monde
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J’ai eu à quelques reprises ces derniers temps l’occasion de m’effarer de la tenue de certains débats politiques locaux sur Twitter. Bien qu’il m’arrive de débattre en ligne fort souvent, je suis stupéfait du niveau de certaines attaques. J’ai déjà réagi l’autre jour par un billet mais généralement je ne prends plus la peine de répondre quand il s’agit juste d’attaques vaines et non de débat.
Hier en repostant pour la seconde fois un billet écrit le midi, j’ai été pris à partie sur mon handicap, la dyspraxie, par un sympathisant du GRAM, soutien de la liste du Front de Gauche à Lyon, de son vrai nom Thierry Seveyrat (que je connais depuis fort longtemps et qui depuis quelques jours affiche son vrai nom et prénom sur son profil). Les lecteurs fidèles de ce blog se souviennent que le Nouvel Observateur et France 5 m’avaient sollicité pour m’interroger sur la dyspraxie , problème qui me pourrit la vie. Apparemment, même si je n’imagine pas une seconde que la position de la majorité des membres du Gram/Front de Gauche soit celle-ci, devoir vivre avec un handicap est un tort qui doit être exploité politiquement. Un nouveau sens au débat de fond ?