Je publie ce jour dans le Huffington Post une tribune sur la nation européenne en construction, sur la nécessité de cesser d’entre dans l’entre deux entre l’Etat-Nation et le fédéralisme et sur le bilan catastrophique des nationalistes au cours des millénaires passés.
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En quelque sorte, nous pouvons dire que le 8 mai, on fête la défaite des nationalistes, l’échec de leur logique poussée jusqu’au bout, jusqu’à la mort, après des millénaires d’emprise de leur camp. Loin d’être une logique nouvelle, une alternative à un quelconque système, le nationalisme, qu’il soit de soumission à un suzerain ou à un État, était testé pendant des millénaires. Et nous n’avons jamais connu autant de paix en Europe que depuis que nous commençons à en dépasser la forme. Même si c’est de façon insuffisante. Même s’il faudrait aller plus loin, pour redonner aux citoyens un vrai contrôle démocratique. Mais toujours est-il qu’en ce 9 mai, nous célébrons le dépassement des frontières nationales et de la nation européenne en construction. Et que quoi que l’on reproche à l’Union Européenne, elle ne cause aucun mort.
Pour lire d’un clic le texte intégral de le 9 mai, jour de la fête de la nation européenne