Sabotage de la journée du 17 octobre par les syndicats des transports en commun lyonnais

Heureusement que la direction de Keolis a convenu avec les organisations syndicales de se revoir pour rediscuter le lundi 19 octobre.Parce que décidément les syndicats des transports en communs lyonnais voudraient se rendre antipathiques, ils ne s’y prendraient pas autrement.

  En effet, à peine Keolis, la société gérant les transports en commun lyonnais, a-t-elle annoncé, parmi la batterie de gestes commerciaux visant à s’excuser des désagréments causés par la grève, que le transport sur ses lignes serait gratuit le 17 octobre (un coût de 450 000 euros pour la société) que les organisations syndicales déclarent faire grève ce jour-là.

Une nouvelle paralyse de l’agglomération , rendant nul et non avenu le bénéfice d’une journée gratuite pour les usagers. A commencer par les plus modestes, ceux pour qui payer son transport est un problème de chaque mois, parfois de chaque jour. Bien plus cette journée du 17 aurait du être la troisième édition de la « Fête des transports et de la mobilité durable ». Des expositions de véhicules, des ateliers seront organisés place Bellecour. Une découverte des métiers du transport en commun à Lyon, un moment où l’on fait découvrir son métier aux lyonnais, son quotidien, ses joies, ses peines, son travail, sa vie professionnelle. Visiblement de ce dialogue entre les habitants de Lyon et ceux qui travaillent aux TCL, certains n’en veulent pas.

Ce qui est presque amusant si la situation n’était pas si grave, c’est que les syndicats de l’entreprise appellent régulièrement à une compréhension des usagers, à de la solidarité vis à vis de leurs revendications incluant par exemple un quatorzième mois. Visiblement dans leur esprit la compréhension ne marche que dans un sens: le leur.

Sabotage de la journée du 17 octobre par les syndicats des transports en commun lyonnais

Heureusement que la direction de Keolis a convenu avec les organisations syndicales de se revoir pour rediscuter le lundi 19 octobre.Parce que décidément les syndicats des transports en communs lyonnais voudraient se rendre antipathiques, ils ne s’y prendraient pas autrement.

  En effet, à peine Keolis, la société gérant les transports en commun lyonnais, a-t-elle annoncé, parmi la batterie de gestes commerciaux visant à s’excuser des désagréments causés par la grève, que le transport sur ses lignes serait gratuit le 17 octobre (un coût de 450 000 euros pour la société) que les organisations syndicales déclarent faire grève ce jour-là.

Une nouvelle paralyse de l’agglomération , rendant nul et non avenu le bénéfice d’une journée gratuite pour les usagers. A commencer par les plus modestes, ceux pour qui payer son transport est un problème de chaque mois, parfois de chaque jour. Bien plus cette journée du 17 aurait du être la troisième édition de la « Fête des transports et de la mobilité durable ». Des expositions de véhicules, des ateliers seront organisés place Bellecour. Une découverte des métiers du transport en commun à Lyon, un moment où l’on fait découvrir son métier aux lyonnais, son quotidien, ses joies, ses peines, son travail, sa vie professionnelle. Visiblement de ce dialogue entre les habitants de Lyon et ceux qui travaillent aux TCL, certains n’en veulent pas.

Ce qui est presque amusant si la situation n’était pas si grave, c’est que les syndicats de l’entreprise appellent régulièrement à une compréhension des usagers, à de la solidarité vis à vis de leurs revendications incluant par exemple un quatorzième mois. Visiblement dans leur esprit la compréhension ne marche que dans un sens: le leur.