du rituel des stages: ma chronique sur Lyon Mag

Un peu partout dans le monde, être peu ou pas payé pour un travail porte divers noms.

Travaux
d’intérêt général
dans le meilleur des cas si vous avez causé par
exemple un scandale sur la voie publique ou esclavage en cas de
malchance un peu plus poussée. A moins que vous n’ayez le malheur d’être
une femme vivant en couple
et donc, les statistiques le montrent, souvent victime d’un fort déséquilibre dans les tâches ménagères ? A

moins, plus sympathique, que vous ne soyez bénévole dans quelques
associations
ou causes ou chroniqueur sur un site internet.

Mais il existe également un autre type de travail gratuit, un cérémonial généralement dédié à une étape de l’existence du jeune travailleur en

devenir : le stage. Certes, beaucoup d’entreprises, parfois disposant de

peu de moyens, passent du temps à apprendre le métier à ceux qui viennent passer quelques semaines ou quelques mois chez eux. Certes la législation a un peu évolué et aujourd’hui il est moins rare qu’avant

d’être un minimum défrayé. Mais moins rares aussi sont les abus.