Désormais, les lecteurs les plus fidèles de mon blog l’ont constaté, je ne met plus forcément l’ensemble de mes contributions sur ce blog. Au début à cause d’un player parfois capricieux à exporter. Et puis après l’habitude. Mais bien évidemment chaque émission est annoncée sur les réseaux sociaux puis diffusée ensuite. L’édito du web de RCF est disponible à chaque fois sur sa page dédiée. Du coup je ne veux pas faire doublon en faisant un article se contentant de faire un lien. Même si je rajoute aussi souvent mon texte brut. Qui fait moins sens puisque manquent les relances de l’animateur (JC Galeazzi ou moment Elise Moreau) .
Bref on parle souvent du rapport entre les blogs et les réseaux sociaux mais voici une distinction importante : à l’heure de twitter, de Facebook, de Google Plus ( tiens où est passé Trello ? ) le présent carnet numérique est là pour des contenus plutôt que pour des annonces.
Ah et le podcast de mon émission d’hier ? Il est ci-dessous. Il porte donc je le disais sur le digital labor. A l’occasion de la sortie du livre de Cardon et Casilli sur le sujet. Une notion qui m’intérèsse beaucoup et dont j’ai parlé plusieurs fois dans l’émission.
En fait la plupart des gens qui travaillent pour Facebook ou Google ne sont salariés de l’entreprise. Ce sont les clients des ces sites qui en faisant des recherches, en communiquant avec leurs proches, fournissant des données, contribuent à améliorer le service délivré tout en étant bien évidemment aussi la vraie valeur ajoutée de l’entreprise. On vend une base de clients qui utilise ses services à des annonceurs. Mais en plus cette base de clients travaille pour vous ! Elle est pas belle la vie ? Il y a un dicton très connu sur internet : si un service c’est gratuit, c’est que c’est toi le produit. On pourrait y rajouter: si c’est gratuit, c’est que tu travailles ici.