Je profite du fait que Nicolas a fait un excellent billet pour le lui piquer en partie et ne pas en rédiger un. Les débats ont été passablement agités, hier soir, dans Twitter, à propos des nouvelles révélation à propos de Dominique Strauss-Kahn.(…) La plaignante aurait été prostituée. Vous me connaissez, j’étais au bistro et je faisais les plaisanteries salaces appropriées. Deux petites dames, que je connais à force de fréquenter les mêmes braves gens mais auxquelles je ne suis pas abonné (les hystériques féministes d’extrême gauche sont à consommer avec modération), me sont tombé sur le paletot et quelques zozios me cherchaient également. C’est amusant les conneries que l’ont peut entendre à propos de DSK, de la part de ces féministes en peau de lapin d’extrême gauche, comme si elles en faisaient un symbole du machisme et du libéralisme de droite dans un même panier. Mon propos, globalement, était de dire que la présomption d’innocence était toujours d’actualité, de plus en plus même, vu les dernières découvertes. Encore quelques jours, on va découvrir que c’est la bonne qui a violé DSK quand elle l’a vu nu sortir de la douche… C’est ainsi que j’ai répondu à quelqu’un qui me disait « Attention à ce que tu dis, il n’a pas encore été innocenté ». D’où le titre de mon billet : il faut respecter la présomption de culpabilité. Nous allons l’énoncer ainsi : quand un socialiste qui a été directeur du FMI passe au tribunal, il est déclaré coupable d’office sauf si on arrive à prouver son innocence. la suite sur le blog de Nicolas.