Ces derniers jours la question de la nocivité de la viande a été remise sur le devant de la scène. Entre ses andouillettes qui viennent de retrouver leur fraise (n’espérez pas un équilibre fruit/viande, il s’agit de fraise de veau) et ses sabodets. Entre sa rosette et son tablier de sapeur. Entre ses terrines, ses boudins, ses gâteaux de foie de volaille. Et ses cervelas divers. Entre tout cela notre gastronomie lyonnaise est-elle devenue dangereuse ?
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