Il fait chaud après des pluies lourdes comme les menaces qui pensent sur la ville. Nous sommes en 1793. Face à l’assaut. Un assaut. Un vrai. Une menace. Une vraie menace, loin des paranoïas que nous font certains marchands de peur actuels qui nous débitent l’inquiétude à longueur de forums numérisés et de couverture de magazines de papier couché en omettant de nous parler, derrière les faits divers, des grands soucis de misère sociale et économique de notre existence. En 1793, le danger est là et prend le visage, multiple et bien réel, de 65 000 hommes, envoyés pour soumettre notre ville.
La suite de mon édito sur Lyon Mag ‘quand l’Etat nous interdit de nous appeler Lyon‘