Après Toulouse c’est au tour de Lyon. L’Etat va revendre ses parts dans l’aéroport de Saint-Exupéry. Est-ce pour Lyon les funérailles de notre aéroport? Cela peut au contraire être une chance en ces temps incertains. C’est le sujet de mon édito dans Lyon Mag
L’investissement sino-canadien à Toulouse a un mérite : démontrer encore une fois que notre pays qui a une si forte tendance à s’auto-dénigrer, reste l’un des plus attractifs au monde. Une attractivité en hausse d’ailleurs si on en croit les chiffes comme le montre l’Agence française pour les investissements internationaux (AFII) . Mais quelle garantie de pérennité et de solidité de l’engagement des investisseurs avons-nous ? Qu’est-ce qui garantit un intérêt sur la durée pour l’aéroport du fonds qui s’est engagé ? Et la logique des investisseurs sera-t-elle dans le sens des intérêts du territoire ou du seul rendement financier ?
Un aéroport c’est en tout cas un atout majeur pour une ville : plus de possibilités de faire venir de la culture, des investissements, des événements.
L’intégralité du billet est à lire dans l’édito de Romain Blachier sur Lyon Mag au sujet de l’aéroport de Saint-Exupéry