ma tribune sur Rue 89 Les paradoxes de la révolution tunisienne | Romain BlachierRomain Blachier

J’ai publié dans Rue 89 une tribune sur la situation de la Tunisie deux ans après sa révolution. C’est un pays qui compte énormément d’atouts, une société civile active, des députés qui sont en train de construire et de réinventer une démocratie. Un numérique pas assez exploité mais riche en potentiel.Le pays est à la croisée des chemins.

  • En France et dans le Monde, Mes chroniques presse
  • 4 commentaires

ll y a un paradoxe politique tunisien. Ou plutôt des paradoxes politiques tunisiens.

Il existe en Tunisie un parlement élu dans lequel, toutes nuances confondues, la gauche domine largement. Mais ce sont pourtant les islamistes, arrivés en tête, qui arrivent à former une majorité avec deux organisations de centre-gauche Ettakatol et le CPR, faute d’accord entre les forces progressistes.

Autre paradoxe, ce pays, qui a élu librement un parlement, dispose paradoxalement d’un gouvernement ne reflétant pas une majorité politique

Retrouvez d’un clic le texte intégral de ma tribune sur rue 89 intitulée « Les paradoxes de la révolution tunisienne« 

ma tribune sur Rue 89 Les paradoxes de la révolution tunisienne | Romain BlachierRomain Blachier

J’ai publié dans Rue 89 une tribune sur la situation de la Tunisie deux ans après sa révolution. C’est un pays qui compte énormément d’atouts, une société civile active, des députés qui sont en train de construire et de réinventer une démocratie. Un numérique pas assez exploité mais riche en potentiel.Le pays est à la croisée des chemins.

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ll y a un paradoxe politique tunisien. Ou plutôt des paradoxes politiques tunisiens.

Il existe en Tunisie un parlement élu dans lequel, toutes nuances confondues, la gauche domine largement. Mais ce sont pourtant les islamistes, arrivés en tête, qui arrivent à former une majorité avec deux organisations de centre-gauche Ettakatol et le CPR, faute d’accord entre les forces progressistes.

Autre paradoxe, ce pays, qui a élu librement un parlement, dispose paradoxalement d’un gouvernement ne reflétant pas une majorité politique

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