Soutenir les petits producteurs et les consommateurs lyonnais – Romain BlachierRomain Blachier

Parmi le projet de Gérard Collomb et de ses équipes, figure une attention particulière aux producteurs locaux et aux circuits courts ainsi qu’à la consommation alternative.

Le grand Lyon, un territoire riche en producteurs agricoles et artisanaux

On l’oublie très souvent mais la métropole lyonnaise se situe dans un bassin empli de richesses agricoles. 24% de la surface de la métropole de Lyon est constituée de territoires agricoles soit 12 281 hectares. Peu de métropoles en Europe possèdent cette chance.

Brasseurs, agriculteurs, viticulteurs lyonnais: un monde divers que nous voulons soutenir

Autour de ces activités se sont organisées un grand nombre de métiers. Longtemps oubliés par les villes, la collaboration cités/ producteurs s’est retissée ces dernières années. Le succès des AMAP, d’entreprises dédiées aux productions locales, les petites brasseries d’artisans, des achats directs à la ferme, des sociétés de distributions de paniers locaux en témoigne. Ainsi que des boutiques comme par exemple, pour la Guillotière, l’Epicerie Equitable, le Court-Circuit ou 3 Petits Pois. Au niveau viticole, c’est aussi la décision de la ville de Lyon de jumeler chaque arrondissement de Lyon avec un cru de viticulteurs du Beaujolais afin de favoriser une meilleure compréhension et des liens.

Le programme de soutien aux producteurs du Grand Lyon

Le programme PSADER-PENAP lancé par le Grand Lyon a aussi été l’occasion de soutenir les producteurs de l’aire urbaine lyonnaise et à protéger leurs terrains. Un autre aspect du plan mis en œuvre est l’encouragement à la diversification et l’aide à l’installation des productions agricoles. C’est désormais 21% des exploitations lyonnaises qui se diversifient. Et une dizaine de nouvelles exploitations se sont établies dans notre agglomération ces 3 dernières années.  Nous cherchons aussi par ce plan mis en œuvre à renforcer la part du bio dans la production, que nous trouvons trop faible (Environ 2% seulement) et dont nous voulons contribuer à soutenir la progression.

Rapprocher les producteurs et les consommateurs

Pour assurer des débouchés et garantir une fourniture en produits de haute qualité, nous voulons contribuer à rapprocher les producteurs et les consommateurs. En une dizaine d’années nous avons pu contribuer à ce que le nombre de producteurs impliqués dans les circuits courts soit quasiment multiplié par 3. Nous comptons également renforcer l’offre de produits bios et/ou locaux dans les commandes publiques des cantines. Nous allons également continuer à soutenir l’implantation de producteurs sur les marchés de produits alimentaires (plus de 200 aujourd’hui dans l’agglomération lyonnaise). Les acteurs publics sont et doivent être aussi des locavores. Nous travaillons également et voulons renforcer ce lien avec les commerçants, dont nombreux sont par exemple les acteurs à Lyon de la découverte des vins naturels.

Préserver notre environnement et notre alimentation, augmenter la part des productions bios et locales, soutenir la consommation alternative, voilà notre ambition pour Lyon et sa métropole.

photo: Wikimedia commons

Soutenir les petits producteurs et les consommateurs lyonnais – Romain BlachierRomain Blachier

Parmi le projet de Gérard Collomb et de ses équipes, figure une attention particulière aux producteurs locaux et aux circuits courts ainsi qu’à la consommation alternative.

Le grand Lyon, un territoire riche en producteurs agricoles et artisanaux

On l’oublie très souvent mais la métropole lyonnaise se situe dans un bassin empli de richesses agricoles. 24% de la surface de la métropole de Lyon est constituée de territoires agricoles soit 12 281 hectares. Peu de métropoles en Europe possèdent cette chance.

Brasseurs, agriculteurs, viticulteurs lyonnais: un monde divers que nous voulons soutenir

Autour de ces activités se sont organisées un grand nombre de métiers. Longtemps oubliés par les villes, la collaboration cités/ producteurs s’est retissée ces dernières années. Le succès des AMAP, d’entreprises dédiées aux productions locales, les petites brasseries d’artisans, des achats directs à la ferme, des sociétés de distributions de paniers locaux en témoigne. Ainsi que des boutiques comme par exemple, pour la Guillotière, l’Epicerie Equitable, le Court-Circuit ou 3 Petits Pois. Au niveau viticole, c’est aussi la décision de la ville de Lyon de jumeler chaque arrondissement de Lyon avec un cru de viticulteurs du Beaujolais afin de favoriser une meilleure compréhension et des liens.

Le programme de soutien aux producteurs du Grand Lyon

Le programme PSADER-PENAP lancé par le Grand Lyon a aussi été l’occasion de soutenir les producteurs de l’aire urbaine lyonnaise et à protéger leurs terrains. Un autre aspect du plan mis en œuvre est l’encouragement à la diversification et l’aide à l’installation des productions agricoles. C’est désormais 21% des exploitations lyonnaises qui se diversifient. Et une dizaine de nouvelles exploitations se sont établies dans notre agglomération ces 3 dernières années.  Nous cherchons aussi par ce plan mis en œuvre à renforcer la part du bio dans la production, que nous trouvons trop faible (Environ 2% seulement) et dont nous voulons contribuer à soutenir la progression.

Rapprocher les producteurs et les consommateurs

Pour assurer des débouchés et garantir une fourniture en produits de haute qualité, nous voulons contribuer à rapprocher les producteurs et les consommateurs. En une dizaine d’années nous avons pu contribuer à ce que le nombre de producteurs impliqués dans les circuits courts soit quasiment multiplié par 3. Nous comptons également renforcer l’offre de produits bios et/ou locaux dans les commandes publiques des cantines. Nous allons également continuer à soutenir l’implantation de producteurs sur les marchés de produits alimentaires (plus de 200 aujourd’hui dans l’agglomération lyonnaise). Les acteurs publics sont et doivent être aussi des locavores. Nous travaillons également et voulons renforcer ce lien avec les commerçants, dont nombreux sont par exemple les acteurs à Lyon de la découverte des vins naturels.

Préserver notre environnement et notre alimentation, augmenter la part des productions bios et locales, soutenir la consommation alternative, voilà notre ambition pour Lyon et sa métropole.

photo: Wikimedia commons