Lyonnitude(s): Mon interview sur les réseaux sociaux et les élections dans le blog cantonales 2011

Un peu de pub pour Cantonales 2011. Il s’agit d’un blog collectif d’étudiants de l’IEP de Lyon (école dénommée plus habituellement Science Po Lyon ) sur les prochaines échéances départementales. Contrairement à un précédent catastrophique réalisé par d’autres éléves de la même école pour les municipales, celui-ci est prometteur, de bonne facture et intéressant.

J’ai eu connaissance de la chose lors d’un interview que ces jeunes gens ont réalisé de ma modeste personne sur les stratégies internet et les campagne.J’était interrogé à la fois en tant que politique et consultant en communication internet web 2.0. Extrait ci-dessous.

Alors que  les élections cantonales ne se tiendront qu’en mars 2011, la campagne a déjà débuté sur le web. Entretien avec Romain Blachier, adjoint au maire du 7ème arrondissement de Lyon, délégué à l’Economie, au Commerce et à l’Artisanat, expert en réseaux sociaux mais qui n’est pas candidat aux prochaines élections.  

 – En tant qu’élu local et blogueur, trouvez-vous que les candidats aux élections cantonales de 2011 ont suffisamment investi internet et les réseaux sociaux ?

C’est encore trop tôt pour le dire mais on constate déjà un fossé générationnel. Ce sont essentiellement des trentenaires, plutôt de gauche mais pas seulement,  qui ont investi  Internet comme outil de campagne. De plus en plus de candidats de toutes tendances  se mettent à créer leur propre blog,  leur compte Twitter ou encore leur page Facebook. Je crois que  la campagne des Cantonales 2011 va être la première campagne uninominale à autant  utiliser les réseaux sociaux et les blogs.

– Quels sont les atouts des réseaux sociaux pour les hommes politiques ?

Les hommes politiques ont tout intérêt à utiliser Internet et plus particulièrement les réseaux sociaux. Cela permet notamment de fédérer une communauté autour de soi et de donner une information directe à l’électeur. En somme, c’est un outil formidable pour rapprocher les élus et  les citoyens.

La suite de l’interview ici.