Mon passage sur France 3 Rhône-Alpes

@romain blachier : j’ai revu votre « débat », et je le trouve tout à fait creux, comme au premier coup d’oeil. De plus, je pense que vous devriez vous même le revoir car vous expliquez clairement, vous et votre interlocuteur, que vous considérez les réseaux sociaux comme étant des outils permettant de fédérer les individus étant déjà intéressés par l’idée qu’évoque le parti propriétaire du réseau. Donc, une nouvelle fois : vous n’utilisez en rien le potentiel du web. Les indicateurs sur lesquels vous vous fondez sont tout aussi vaseux. Tout d’abord, les réseaux sociaux rattachés aux marques ne sont pas tous des échecs, toute la problématique est ici la considération et la personnalité de la marque. Mais nous entrons ici dans de la stratégie marketing, ce qui ne doit pas relever de vos compétences puisque vous parlez politique. Alors parlons politique, un instant, à l’heure actuelle, l’approche de vous défendez reste celle d’une organisation repliée sur elle-même. On se fiche éperdument du nombre d’individus qui peuvent avoir adhérer au réseau social, sauf si votre objectif est bien l’accumulation (ce qui semble être votre cas). Mais, il semblerait qu’en même temps vous parliez d’une approche qualitative, ce qui est contraire au quantitatif (sauf si l’objectif des « débats » pour la région dont vous parlez sont des débats fondés sur la reprise unique des idées du parti, auquel cas, nous sommes dans du sarkozysme pur et dur, et une fois encore : vous n’utilisez pas les avantages de l’internet). Fondamentalement, vous ne savez guère de quoi vous parlez ?! Concrètement, vos propos sont incohérents, votre stratégie douteuse et votre connaissance des intra-nets est uniquement appuyée par ce qui circule sur la toile, non par une expertise tirée du terrain et de l’analyse pragmatique des réalités. En bref, Monsieur Blachier, en plus de maintenir dur comme fer vos allégations fondées sur du vent (clairement présenté dans cette vidéo « ronflante » par son déjà vu), mais en plus, vous avez le culot de revenir à la charge en sortant des articles de média non spécialisé dans le domaine comme s’il s’agissait de propos parfaitement ingénieux, réfléchis et maîtrisé par les « reporters » alors qu’eux-mêmes n’en sont qu’aux balbutiement dans leur approche du web.

@jermine : le réseau social, en terme technique, est une plate-forme. De quoi parle-t-on au juste ?! Les entreprises cherchent à tirer avantage de la vitesse de circulation des informations, autrement dit, nous nous trouvons dans de l’applicatif qui concentre la gestion de projet et la gestion des bases documentaires (Voir : progiciels, ERP, CRM, Workflow, Marketing, Comptabilité, etc, etc, etc). L’approche « réseau social » que l’on peut donner à ces choses là n’a de force qu’en fonction du management interne à la structure : tout dépend si vous gérez des fonctionnaires (qui appliquent uniquement ce pourquoi ils sont payés) ou bien des créatifs (Voir : Management de Google).

Mon passage sur France 3 Rhône-Alpes

@romain blachier : j’ai revu votre « débat », et je le trouve tout à fait creux, comme au premier coup d’oeil. De plus, je pense que vous devriez vous même le revoir car vous expliquez clairement, vous et votre interlocuteur, que vous considérez les réseaux sociaux comme étant des outils permettant de fédérer les individus étant déjà intéressés par l’idée qu’évoque le parti propriétaire du réseau. Donc, une nouvelle fois : vous n’utilisez en rien le potentiel du web. Les indicateurs sur lesquels vous vous fondez sont tout aussi vaseux. Tout d’abord, les réseaux sociaux rattachés aux marques ne sont pas tous des échecs, toute la problématique est ici la considération et la personnalité de la marque. Mais nous entrons ici dans de la stratégie marketing, ce qui ne doit pas relever de vos compétences puisque vous parlez politique. Alors parlons politique, un instant, à l’heure actuelle, l’approche de vous défendez reste celle d’une organisation repliée sur elle-même. On se fiche éperdument du nombre d’individus qui peuvent avoir adhérer au réseau social, sauf si votre objectif est bien l’accumulation (ce qui semble être votre cas). Mais, il semblerait qu’en même temps vous parliez d’une approche qualitative, ce qui est contraire au quantitatif (sauf si l’objectif des « débats » pour la région dont vous parlez sont des débats fondés sur la reprise unique des idées du parti, auquel cas, nous sommes dans du sarkozysme pur et dur, et une fois encore : vous n’utilisez pas les avantages de l’internet). Fondamentalement, vous ne savez guère de quoi vous parlez ?! Concrètement, vos propos sont incohérents, votre stratégie douteuse et votre connaissance des intra-nets est uniquement appuyée par ce qui circule sur la toile, non par une expertise tirée du terrain et de l’analyse pragmatique des réalités. En bref, Monsieur Blachier, en plus de maintenir dur comme fer vos allégations fondées sur du vent (clairement présenté dans cette vidéo « ronflante » par son déjà vu), mais en plus, vous avez le culot de revenir à la charge en sortant des articles de média non spécialisé dans le domaine comme s’il s’agissait de propos parfaitement ingénieux, réfléchis et maîtrisé par les « reporters » alors qu’eux-mêmes n’en sont qu’aux balbutiement dans leur approche du web.

@jermine : le réseau social, en terme technique, est une plate-forme. De quoi parle-t-on au juste ?! Les entreprises cherchent à tirer avantage de la vitesse de circulation des informations, autrement dit, nous nous trouvons dans de l’applicatif qui concentre la gestion de projet et la gestion des bases documentaires (Voir : progiciels, ERP, CRM, Workflow, Marketing, Comptabilité, etc, etc, etc). L’approche « réseau social » que l’on peut donner à ces choses là n’a de force qu’en fonction du management interne à la structure : tout dépend si vous gérez des fonctionnaires (qui appliquent uniquement ce pourquoi ils sont payés) ou bien des créatifs (Voir : Management de Google).