February 2017 – Romain Blachier

Le foutou’art, canard d’extrême-gauche lyonnais m’a fait ce que je vois comme un beau cadeau de Saint-Romain en rendant hommage au petit blogueur et élu que je suis. Je vous invite à les soutenir. Nous avons besoin d’une presse alternative.

28 Feb 2017 par Romain BLACHIER

Lyon Gauche Solidaires, qui siège pourtant dans la majorité de Gérard Collomb Maire pro-Macron, estiment qu’il n’est pas possible de travailler avec les amis d’Emmanuel Macron. Quelles conséquences en tirer ?

26 Feb 2017 par Romain BLACHIER

Je viens d’apporter mon concours à la Marche pour la Science le 22 avril pour le progrès et contre l’obscurantisme réactionnaire

26 Feb 2017 par Romain BLACHIER

A droite et à gauche, certains devraient se souvenir que sans débat, sans information, sans journalisme, il n’y a plus de démocratie. Mais sans doute qu’enfermés dans leur caste, ils s’en accommoderaient bien. Avec seulement des sites à leur botte pour donner leur vérité à eux. Sans être dérangés.

20 Feb 2017 par Romain BLACHIER

Il y avait 3 fois plus de monde à vouloir entrer que de places disponibles. Le meeting était conçu pour être grandiose et spectaculaire. Et il le fut. Geneviéve de Fontenay était aux anges. Et sur le fond et les idées ?

4 Feb 2017 par Romain BLACHIER

D’habitude j’ouvre un peu ma gueule pour tout. J’exprime clairement mes choix, qu’ils soient politiques, culturels, technologiques et autres (ça va des clivages au sein de la gauche espagnole jusqu’au meilleur endroit pour boire un expresso le samedi matin à Lyon. Et je vous jure que le match est ouvert est dans les deux cas). Alors que beaucoup de mes collègues sont souvent moins diserts que moi sur ce qu’ils croient. Ou qu’ils font mine de croise. J’avais par exemple fortement gueulé lorsque Fabien Verdier, de qui j’étais porte-parole national. n’avait pu se présenter à la primaire de la Belle Alliance Populaire. Alors que je voulais alors jouer le jeu de ce scrutin interne à la gauche, qui avait été obtenu notamment par le courant de La Fabrique au sein du PS. J’en ai été découragé. Et par la suite je n’ai trouvé aucun candidat interne qui me fasse envie, même si j’ai failli voter Montebourg uniquement pour faire plaisir à mon ami Yann Galut. Quand à Jean-Luc Mélenchon, nous différons trop sur la Russie ou sur un sujet qui m’est cher comme Taiwan.

Alors il est temps d’expliquer. Parce pour l’instant sur mon soutien à Emmanuel Macron, j’ai peu dit. Alors quand on a vu que je faisais partie d’un appel de soutien au candidat de 38 ans aux bras en croix en fin de meeting, on m’a un peu sauté dessus et demandé des explications. Certains m’ont félicité, d’autres ont hurlé ou m’ont insulté. Alors maintenant que la primaire de la Belle Alliance Populaire est terminée et qu’un meeting se profile ce samedi à Lyon, il est temps de dire. D’expliquer. Ce que je fais là. Ce que j’y fais, en matière de programme culturel et de numérique.

Je vous avoue qu’il est loin de m’avoir plu tout de suite le Macron quand il était Ministre. Il n’y a qu’à regarder mon blog et des propos que j’ai tenu, des réunions où je suis allé. Même si je trouvais parfois absurde sur certains points l’opposition à la fameuse loi contenant son nom : il y avait tellement de choses dedans, parfois positives comme parfois négatives à mon sens qu’il était un peu imbécile d’être pour ou contre en bloc.

Et puis des événements, certes simplement symboliques comme le costume et la chemise m’avaient gonflé contre le Ministre de l’Economie de l’époque. Et puis enfin quelle manie de s’entourer de technos ! J’étais pas convaincu. Du tout. J’ai été à des réunions, vu différentes initiatives. Parfois intéressantes. Parfois non. Souvent inabouties. Entre ça et les primaires j’étais un peu orphelin. Avec des réserves encore sur Emmanuel Macron. Qui maniait, qui manie encore parfois, un peu trop souvent le poncif.

Et puis au fur et à mesure des mois il a évolué. Mon regard aussi. Ce sera Macron pour moi. Macron pour qui je produis et je vais produire des notes en matière de culture et de stratégie numérique puisque j’ai aussi été intégré à ces problématiques au niveau de ses équipes nationales. Justement pour ne pas y avoir que des personnes issues des grandes écoles.

Alors Macron ? Pourquoi pour moi ? Il au moins 8 raisons.

2 Feb 2017 par Romain BLACHIER