Florence Verney-Carron, venez boire le beaujolais-villages de la paix !

C’est la fin de la période des voeux. J’y ai, comme d’autres, participé. En essayant tout de même de ne pas me transformer en mondain échevelé. Si il y a des coureurs de buffets, et de cérémonies, je suis plutôt un fuyard qui a surtout tendance à aller là où mes obligations et diverses casquettes me poussent.

Ce midi était donc un peu l’exception puisque j’étais aux voeux du SYTRAL, l’instance qui gère les Transports en Commun Lyonnais. Mais après tout, contrairement à beaucoup, je n’ai pas de voiture et je circule principalement en transport en communs. Et il s’agit d’un organisme issu de la Métropole de Lyon, où je suis élu.

Je me suis donc retrouvé à écouter le bilan et les perspectives posées par Annie Guillemot sur nos transports à tous et les perspectives de développement qu’elle a posé m’ont parues, tant à l’élu que je suis qu’à l’usager, des plus enthousiasmantes pour la santé des transports en commun de notre Métropole. J’aime beaucoup Annie.

Ensuite, devisant un verre de vin à la main avec quelques relations, j’ai eu la surprise d’être abordée par une dame aussi élégante que visiblement furieuse :

« Vous êtes Romain Blachier, vous avez écrit du mal de moi ». 

Ne connaissant pas la dame, je lui ai demandé qui elle était. J’écris beaucoup et je ne connais pas le visage de tout le monde. La faute à pas assez de mondanités de ma part, toujours. Encore.

Visiblement cela n’arrivait pas souvent à la dame qu’on lui demande qui elle est. Ma question l’a énervée et après m’avoir dit « Mais c’est une plaisanterie ? » elle m’a tourné le dos et a refusé de répondre à ma question. Apparement il fallait voir qu’il elle était.

Après enquête il s’agissait de la Vice-Présidente à la Région de Laurent Wauquiez :  Florence Verney-Carron, déléguée à la Culture.

Et j’en avais parlé dans une tribune sur Lyon Mag. Où je me moquais surtout de moi-même et de la propension que j’avais à mettre de la Culture à toute les sauces. De la Florence en question, qui a eu une carrière riche et dynamique,  j’ai dit qu’elle avait eu une activité dans une grande société d’événementiel. Ce qui n’est pas honteux bien au contraire. Jugez en lisant le billet auquel elle faisait référence.

J’ai dit à la dame qu’on m’avait dit qu’il il était et que je voyais pas quel était le souci mais elle n’a pas voulu en parler.

Bref Florence vous ne m’avez pas compris. Ce n’est pas parce qu’un élu de gauche parle d’une élue de droite qu’il dit forcément du mal. Et juré, maintenant que je vois votre visage en photo sur mon blog, je ne vous ferai plus l’offense de plus vous connaitre.

Tenez je vous invite à boire le pot de beaujolais-village de l’amitié. On parlera Culture. On sera pas forcément d’accord sur tout. Mais ce sera enrichissant et il faut bien que les gens du monde des politiques culturelles essaient de travailler un peu ensemble. Et c’est quand même plus intéressant que les mondanités.

Florence Verney-Carron, venez boire le beaujolais-villages de la paix !

C’est la fin de la période des voeux. J’y ai, comme d’autres, participé. En essayant tout de même de ne pas me transformer en mondain échevelé. Si il y a des coureurs de buffets, et de cérémonies, je suis plutôt un fuyard qui a surtout tendance à aller là où mes obligations et diverses casquettes me poussent.

Ce midi était donc un peu l’exception puisque j’étais aux voeux du SYTRAL, l’instance qui gère les Transports en Commun Lyonnais. Mais après tout, contrairement à beaucoup, je n’ai pas de voiture et je circule principalement en transport en communs. Et il s’agit d’un organisme issu de la Métropole de Lyon, où je suis élu.

Je me suis donc retrouvé à écouter le bilan et les perspectives posées par Annie Guillemot sur nos transports à tous et les perspectives de développement qu’elle a posé m’ont parues, tant à l’élu que je suis qu’à l’usager, des plus enthousiasmantes pour la santé des transports en commun de notre Métropole. J’aime beaucoup Annie.

Ensuite, devisant un verre de vin à la main avec quelques relations, j’ai eu la surprise d’être abordée par une dame aussi élégante que visiblement furieuse :

« Vous êtes Romain Blachier, vous avez écrit du mal de moi ». 

Ne connaissant pas la dame, je lui ai demandé qui elle était. J’écris beaucoup et je ne connais pas le visage de tout le monde. La faute à pas assez de mondanités de ma part, toujours. Encore.

Visiblement cela n’arrivait pas souvent à la dame qu’on lui demande qui elle est. Ma question l’a énervée et après m’avoir dit « Mais c’est une plaisanterie ? » elle m’a tourné le dos et a refusé de répondre à ma question. Apparement il fallait voir qu’il elle était.

Après enquête il s’agissait de la Vice-Présidente à la Région de Laurent Wauquiez :  Florence Verney-Carron, déléguée à la Culture.

Et j’en avais parlé dans une tribune sur Lyon Mag. Où je me moquais surtout de moi-même et de la propension que j’avais à mettre de la Culture à toute les sauces. De la Florence en question, qui a eu une carrière riche et dynamique,  j’ai dit qu’elle avait eu une activité dans une grande société d’événementiel. Ce qui n’est pas honteux bien au contraire. Jugez en lisant le billet auquel elle faisait référence.

J’ai dit à la dame qu’on m’avait dit qu’il il était et que je voyais pas quel était le souci mais elle n’a pas voulu en parler.

Bref Florence vous ne m’avez pas compris. Ce n’est pas parce qu’un élu de gauche parle d’une élue de droite qu’il dit forcément du mal. Et juré, maintenant que je vois votre visage en photo sur mon blog, je ne vous ferai plus l’offense de plus vous connaitre.

Tenez je vous invite à boire le pot de beaujolais-village de l’amitié. On parlera Culture. On sera pas forcément d’accord sur tout. Mais ce sera enrichissant et il faut bien que les gens du monde des politiques culturelles essaient de travailler un peu ensemble. Et c’est quand même plus intéressant que les mondanités.